Lucille Lisack

Lucille Lisack est docteure en anthropologie, ATER en anthropologie à l’université Paris-Nanterre, membre associé du LESC (Laboratoire d’Ethnologie et de Sociologie Comparative), du CETOBaC (Centre d’études turques, ottomanes, balkaniques et centre-asiatiques) et du Centre Georg Simmel.

Disciplines des recherches : Anthropologie, musicologie
Aire(s) géographique(s) et période(s) étudiées : Asie Centrale, Ouzbékistan ; XX-XXIe siècle
Langues écrites, lues et parlées : 
français, anglais, allemand

Thèmes de recherche : 

  • Festival de musique du monde (France, Allemagne).
  • Recomposition et mutations esthétiques de la musique en Asie Centrale (Ouzbékistan).

Ses travaux s’inscrivent dans les axes 1 (Cultures, création, patrimoines) et  2 (Mutations et innovations) du GDRus.

Publications majeures :

  • Lucille Lisack, « En marge des institutions ? Parcours d’une « musique contemporaine » en Ouzbékistan », Revue d’anthropologie des connaissances (en ligne), Vol. 14, 2020.
  • Lucille Lisack, « Apprendre à aimer la musique classique : l’atelier de Bonneuil-sur-Marne », in Gilles Delebarre (Dir.), Le Projet Démos. Musique, éducation, démocratisation, Editions de la Philharmonie, collection “La Rue musicale”, 2019, pp. 183-195.
  • Lucille Lisack, « A National School for a Global Music: the Case of Uzbekistan in the Globalized Network of Western-Style ‘Contemporary Music’ », in David Hebert et Mikolaj Rykowski (Dir.), Music Glocalization: Heritage and Innovation in a Digital Age, Newcastle : Cambridge Scholars Press, 2018, pp. 190-217.
  • Lucille Lisack, Marta Amico, Claire Clouet, Julie Oleksiak et Maxime le Calvé, «Des Enfants musiciens comme projet de société ? Enquête collective sur le projet Démos de la philharmonie de Paris », Cahiers d’ethnomusicologie, N°31, 2018, pp. 119-136.

Projet de recherche depuis les cinq dernières années : Sa thèse d’anthropologie de la musique (EHESS / Université Humboldt, 2015) porte sur les mutations esthétiques de la création musicale d’Ouzbékistan depuis les années 1990 et les liens entre avant-gardes musicales, enjeux politiques et bouleversements sociaux. Actuellement, elle travaille sur l’apparition du management de l’art et de la figure de l’artiste indépendant en Asie centrale.

Autres responsabilités scientifiques (sociétés savantes, etc.) :

  • Membre du Conseil d’Administration de la société française d’ethnomusicologie.
  • Membre de la Société française d’ethnologie et d’anthropologie.

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